Le phénomène des agressions en scooter : une menace pour la mobilité urbaine

De nombreuses annonces et actualités ne cessent de démontrer les agressions à moto dans les zones urbaines, comme Nantes, Paris, Nanterre et Marseille. Dernièrement à Toulouse, un homme a subi une attaque sur le pont Saint-pierre au-delà de la garonne, une affaire dont la vidéo s’est rapidement répandue sur les réseaux sociaux, rtl et figaro. Selon certaines sources, une partie des images des vidéos de surveillance a alarmé toute la France. Suite à cette affaire, des mesures ont été prises pour renforcer la sécurité dans la région, notamment concernant la conduite de scooter. Des points à faire sur les causes qui favorisent ces attaques et la prise en charge des victimes. La population attend des résultats positifs de la part des policiers face à cette violence permanente.

Une grande expansion des actes de violence   

L’insécurité règne dans les grandes villes et touche de nombreux individus de la zone suburbaine. Entre la délinquance juvénile, les meurtres, les coups et blessures volontaires, les agressions en scooter montrent entre autres un chiffre élevé chaque année. Selon les statistiques de 2022 évaluées par la sécurité routière, environ 17,7% des accidents de la route concerne les conducteurs de scooter.

Les agresseurs en scooter terrorisent la France, manifestation à Toulouse

L’incident de Toulouse démontre également cette extension du danger à travers la vidéo diffusée sur internet, montrant le suspect qui agresse la victime. Cette actu a par ailleurs fait le tour de la France dans le journal du figaro et sur rtl. Les faits montrent que les malfaiteurs auraient roulé dessus celui-ci sur le pont de Saint-Pierre, au-dessus de la garonne, la nuit du 26 août 2022. Selon les résultats d’examen, la victime s’en est sortie avec un traumatisme cranien et une fracture de la mâchoire.

Les causes favorables à cette expansion

Les raisons de ces agressions peuvent être nombreuses. Dans la plupart des cas, le jeune peuple reste le plus susceptible de perpétrer des attaques de ce genre, suite à une consommation de drogue, des conflits entre gangs ou par simple instinct de violence. Comme tout autre crime, les causes varient selon la motivation de l’agresseur.
Premièrement, l’accessibilité des motos en fait un moyen de transport attractif pour les cambrioleurs. Ces véhicules sont relativement bon marché et facilement disponibles, permettant à ces derniers de se déplacer rapidement et de s’échapper facilement face à un policier. De plus, les progrès technologiques ont considérablement amélioré les performances du scooter, augmentant sa vitesse et sa maniabilité, le rendant encore plus performant.
Par ailleurs, cela peut aussi être attribué à un manque de vigilance au niveau des autorités et des policiers de la région. Les méthodes utilisées par les suspects ne cessent entre autres d’évoluer. Le vol à l’arraché, à main armée et les attaques ciblées sont parmi les types d’agressions les plus courantes. Ces actes criminels peuvent provoquer une instabilité croissante parmi les résidents et les usagers de la voie publique.

Une atmosphère d’insécurité et des répercussions négatives suites aux diverses agressions

Les faits divers de la rtl et du figaro, ainsi que de nombreuses actualités montrent que les agressions en scooter sont de plus en plus fréquents, notamment à paris, nantes et d’autres villes françaises. Ces abus constants créent une atmosphère d’insécurité et de peur chez la population, ce qui leur pousse à ne pas fréquenter des transports en commun ou éviter d’autres modes de transport comme la marche ou le vélo. Ces derniers anticipent les dangers qui pourraient se présenter dans les rues et à la sortie des arrêts de bus. De ce fait, chacun se dépêche de rejoindre sa maison, pour ne pas être écrasé en cours de route.
Cependant, les métros restent les moyens les plus sûrs d’éviter de la roue d’une moto ou les coups. Les malfaiteurs évitent toute agression en public, de peur que des témoins puissent les voir ou que la police les interpelle au moment de leur acte de violence.

Les scooters : des véhicules de danger selon la police

Étant donné l’actu et les annonces concernant les agressions à moto, il est préférable d’opter pour des véhicules plus sécurisés. Un conducteur de moto fait face à plus de danger qu’un chauffeur de voiture. Il est donc plus facile d’agresser une personne sur une moto que dans un autre véhicule. Ces transports sont par ailleurs connus comme les véhicules les plus utilisés par les brigands et terroristes à marseille, de façon à ce que la police interpelle tous les conducteurs comme étant suspect. Les transports à deux roues sont aujourd’hui considérés comme des véhicules de danger pour la circulation. Les conducteurs doivent de ce fait être soumis à un examen pour ne pas être soupçonné de crimes particuliers.

Les réponses des policiers et des acteurs locaux faces aux délits majeurs

Les mesures de prévention contre les attaques ne concernent pas uniquement les policiers, mais la population également. Les syndicats de propriétaires ont pour rôle d’établir les mesures de prévention tout en collaborant avec les autorités. Chaque partie propose des solutions en fonction de ses attributions et de son pouvoir d’action, des mesures qui vont ensuite s’exécuter après élections. La police reste le premier acteur à contribuer à la protection du peuple, c’est la raison pour laquelle le département établit certaines mesures de prévention contre les agressions scooters. Ils ont ainsi émis les réponses suivantes :

•  Mise en place d’une patrouille renforcée : augmentation du nombre de policiers et agents de patrouille dans le quartier à haut risque. Cette méthode consiste surtout à dissuader les agresseurs.

• Emploi de vidéos de surveillance dans les rues concernées : ces matériels favorisent les effets de dissuasion, mais facilitent aussi l’identification des malfaiteurs vus sur les images.

 Prévention établie par les acteurs locaux

Cette catégorie représente la population victime des actes de terrorismes et de violence. Des associations, des syndicats de propriétaires d’appartement et tout autre représentants s’allient pour mettre en place les actions suivantes :

 ·         Création d’une campagne de sensibilisation : dont les membres comprennent les autorités et les habitants. Des affiches et brochures seront distribuées pour informer le public sur l’actualité et les annonces face aux luttes, sur les précautions à prendre et concernant les résultats des dernières actions préétablies.  

 ·         Optimiser la surveillance dans le quartier : une initiative qui peut être effectuée entre les voisins et les propriétaires de maison et appartement. Il s’agit d’effectuer des gardes à tour de rôle dans le secteur, afin de signaler rapidement les incidents aux autorités.

 ·         Alliance avec la police locale : cette collaboration consiste à communiquer avec les autorités les activités suspectes dans le secteur et des informations précises par rapport à la situation dans le secteur.

 La réponse des autorités et des propriétaires face aux attaques de scooters est essentielle pour assurer la sécurité de la population. Ces derniers font des éléctions sur les mesures de précaution et de dissuasion pour des résultats plus efficaces face à la situation actuelle.

 Autres solutions envisageables contre les agressions en scooter

D’autres solutions peuvent s’avérer utiles pour la lutte contre les abus de scooter. Ces alternatives consistent surtout à renforcer la diffusion d’actualité et l’éducation du jeune peuple. Outres les actions établies par les autorités et quelques individus issus de la masse populaire, les solutions suivantes peuvent s’avérer efficaces pour remédier à ces nombreuses agressions en scooter.

 Amélioration des infrastructures urbaines

La première action consiste à améliorer les infrastructures urbaines en mettant en place des pistes cyclables et des places de stationnement sécurisées pour les deux roues. Cette initiative permet de responsabiliser les individus au-dessus d’un scooter de manière légale. De cette façon, le suspect ne pourra pas s’échapper sur les routes.

Renforcement des lois sur les véhicules à deux roues

Des mesures plus sévères peuvent également être mises en place dans l’emploi des véhicules à deux roues. Les autorités peuvent promulguer des lois pour durcir les peines pour les délits en scooter, montrant ainsi que les crimes de cette ampleur ne seront aucunement tolérés.

Renforcer la surveillance

Grâce à l’emploi de matériels performants et l’innovation technologique, il est d’autant plus facile pour un policier d’appliquer différentes mesures préventives contre ces délits. Outre l’installation des caméras de surveillance, les dispositifs de géolocalisation restent aussi des solutions efficaces pour interpeller un suspect. En effet, ce dispositif permet de fixer une puce sur un scooter volé par exemple, et ainsi suivre à la trace l’auteur du crime, voire, l’identifier.

Sensibiliser les citoyens

Enfin, utiliser internet pour instruire et informer le jeune peuple sur les règles de conduite et les précautions à prendre, aide en particulier dans cette lutte contre les coups et violences en scooter. Toutefois, l’éducation et les formations sont nécessaires pour chaque citoyen, afin de mieux prévenir les agressions. Ces cours peuvent se baser sur les règles de conduite, les attitudes de sécurité et les implications juridiques concernant les crimes en scooter.  

  

  

Les scooters sont des véhicules pratiques, faciles à utiliser, mais qui aujourd’hui favorisent la violence et l’agression dans les grandes villes comme nanterre, marseille, nantes. De nombreux cas se présentent dans les régions de France, notamment à Toulouse où un homme a failli être écrasé par la roue d’une moto le soir du 26 août 2022. Les autorités locales et les citoyens ont établi des mesures de prévention contre ces agressions. L’utilisation de caméras de surveillance, le renforcement des agents de patrouilles, ces actions ont été instaurées après éléctions pour garantir la sécurité de la population en ville. Toutefois, il convient à chacun de se tenir informé sur les délits et actu de la région. A part les réseaux sociaux, la presse locale se dépêche par ailleurs de diffuser les annonces importantes pour la population. La seule façon de se protéger, c’est rester informé.